Trucs dans le jeu GTA V

Au sein de cette respectable rédaction, personnes mesure aussi l'attente sommaire suscite un nouveau divertissement à l'accueil solennel qu'il reçoit. Dans ce cas précis, les honneurs relatives au la nouvelle salle de test, une petite lumière tamisée "d'avant l'amour", ton à fond (sur élément chiffre pair) et plusieurs lascars agglutinés pour en savourer les premiers minutes. La fameuse "première impression", celle qui ne trompe pas. Ils sont plutôt rares à s'en enorgueillir, surtout quand la soi-disant blasitude est une site de fabrique, mais GTA V fait partie de ces jeux anciens qui se charge de nous disposent de bluffés. Enfin, pas suffisant du suite, le temps de laisser passer le récipient d'heure d'installation réglementaire (deux DVD sur Xbox 360), puis le premier gros temps de chargement premier - après quoi, ce jeu ne s'interrompt presque jamais. Bref, sans vouloir divulguer les premiers minutes de ce prologue mené tambour battant, les commentaires n'ont pas laissé cette place au doute: en ce qui concerne les consoles actuelles, de ce matos qui a largement dépassé la date de péremption quoi qu'on en parle, Rockstar a franchi notre nouvelle étape technique grace à ce nouvel épisode. On le ressent d'emblée, dans le sens du détail qui anime les personnages comme les environnements, et particulièrement, surtout, une fluidité & une distance d'affichage calibre à fait dignes du douzième TPS en couloir venu. Nous n'avions bien rien vu.

GTA 5 met en scène seule pas un mais trois personnages principaux. Pour une faire courte et couper sur le temps de sommeil, on trouve Michael, quadra en pleine crise existentielle, coincé entre son passé de braqueur repenti qu'il exorcise chez ce psy et une maisonnée de simplets davantage concernés par le dernier Call of et la télé-réalité que grace au boulot; un ensemble de aspirants testeurs de divertissement vidéo, en somme. Cliché ambulant du "nigga", Franklin est le black musclé qui vit de agression chez vous et de trafic de ce fond de son "hood". C'est d'ailleurs à une suite d'une visite impromptue chez l'habitant qu'il possédera la connaissance de Michael. Enfin, une thèse du psychanalyse en trois mesure ne suffirait pas dans décrypter Trevor, le péquenaud hirsute complètement barré, élément peu comme si un Jack Nicholson de Shining avait décidé d'élire maison dans le désert. Pareillement fidèle en amitié sommaire sale, obsédé, et fréquemment en proie à d'inquiétants accès de violence (les malaises des missions Holocauste sont pour lui), Trevor a connu Michael quand ils formaient encore une équipe de braqueurs, auparavant que le destin ne les sépare d'une balle perdue. Une attitude est sûre, vous n'oublierez jamais ton entrée en scène. Quitte à devoir patienter élément peu...

La force serein de Niko, la chaleur de CJ, l'impulsivité de Vercetti: vous les aviez aimés dans les précédents GTA, on vous les sert sur un plate-forme. Franklin est d'ailleurs élément peu plus en retrait face à ces une paire de "monstres", deux figures paternelles, certes, mais aussi & surtout deux as de la gâchette. Car en plus du travail d'écriture (remarquable, vraiment) et de l'attachement porté aux personnages (#teamtrevor), on attendait de voir comment le gameplay bourlinguait s'articuler autour du concept d'alternance. Alors, non, fondamentalement, ceci ne change pas un fonctionnement d'un GTA et ses aller-retours déguisés. Ces différences de caractéristiques succinct Rockstar nous vantait avant la sortie ne sont pas non plus flagrantes manette en main, de moins pour la direction ou les fusillades. Sous tant qu'ancien pilote, Trevor est peut-être plus immuable dans les airs, mais aussi l'endurance peut jouer un petit rôle quand tou le monde pousse son personnage dans nos ainés retranchements, sur notre épreuve de triathlon par exemple. La principale diversité s'opère entre "pouvoirs spéciaux", assez classiques là si: du bullet time chez toutes les sauces, pour ralentir le temps sur la voiture chez Franklin, ou sauver sa peau lorsque le plomb fuse (les vieux). On a vu plus original. Bref, la homogénéité un brin décevante, sans doute pour prévenir de privilégier un personnage au détriment de l'histoire et du gameplay.

Seule, l'intérêt d'avoir trois héros sous la main se trouve être bien plus évident: ce dernier évite l'écueil du manque cruel de variété, ce fameux syndrome qui fait parfois lâcher la manette de nombreuses jeux en monde éventré de dixième heure. C'est là que s'exprime la force de GTA 5. Cette capacité à muscler coûte que coûte l'action et les enjeux, témoin ces transitions invisibles parmi cinématiques et phases moderne game. Passées les responsabilités d'introduction légèrement molles, et de plus sans doute le temps relatives au poser les bases du gameplay GTA pour les derniers réfractaires - et aussi ceux qui viendraient relatives au souffler les bougies relatives au leur 18 (ahem) - on est fabriqué bien souvent à alterner les points de vue pour trouver de nouveaux horizons. Sans inclure mission, le jeu bascule sur la carte relatives au l'état de San Andreas comme un Driver San Francisco, le temps de retrouver le héros de son choix vaquant chez ses occupations. Rien du brutal, tout en velouté, avec toujours un excellent mot mais également en cas de situation insolente pour assurer la transition.

Mais c'est vraiment en pleine action que un potentiel du trio s'exprime. Un angle de refexion plus exploitable, des renforts qui se massent concernant le radar, une tire à ramener à peu à coté de intacte au bercail - quand ce n'est pas plus longtemps une jauge de vie un peu trop entamée: en fonction des événements, le joueur pourra pointer de Michael à Trevor ou Franklin à l'aide de la croix enfin du stick, au effet aussi rapide que discret pour masquer le embarquement. Il arrive bien sûr que certaines opérations se mènent en duo, voire sous solo. Il arrive pareillement qu'un personnage vous soit imposé pour les besoins de la mise sur la scène; la roue qui affiche les persos bronche pour le signaler. La queue du jeu approchant, mais aussi avec elle l'heure de bilan, on aurait aimé que le jeu démultiplie davantage de situations chez trois, qu'il réserve par rapport aux missions scénario d'envergure, et même plus précisément de liberté dans les choix du personnage. Mais dès que une machine s'emballe, sincèrement, c'est du très haut degré. Dans l'intensité de même que pour la mise en scène. Repousser les hordes d'une police surarmée en alternant snipe avec Trevor et lance-grenades au sol avec Michael, hélitreuiller ses deux absurdes pour une fusillade sous rappel avant de rentrer par-delà les montagnes, anéantir un jet à huit kilomètres de distance auparavant de poursuivre la carcasse en feu à appui de motocross en contrebas... Ceci est possible, & même plus. Mais pour que la surprise puisse être intacte, on préfère ne pas citer les plus appropriés passages. Quitte à passer à propos de la chaise de torture au Trevor fraîchement promu dentiste.

Ce côté "best-of" s'exprime aussi dans la majorité des missions de braquage , l'une des grandes réussites de GTA IV , qui font leur réexpédition dans une version toujours plus méthodique. Souvent imposés par Lester, le hacker génial qui illumine dans lui seul une ferronnerie de personnages secondaires sous totale roue libre, la majorité des briefings sont l'occasion pour Rockstar d'introduire des embranchements, puisque les sous-missions laquelle en découlent dépendent de méthode retenue. Aussi, de sorte à infiltrer ce QG ministériel bien gardé, le joueur pourra choisir l'assaut frontal ou la discrétion. Peut-on dire de plus facile pour un employé de ménage de poser un boule de C4 entre 2 passages de serpillière? La majorité des préparatifs diffèrent ainsi prochain les choix, ce laquelle dope aussitôt la rejouabilité, si tant est que ce GTA en ait eu besoin, mais qui donne surtout de l'envergure à l'opération elle-même, au moment où vient le temps du mettre en oeuvre un plan.

Il arrive alors d'enchaîner divers objectifs apparemment anodins, cinq minutes chez peine, avant de aller une demi-heure ou quasiment sur un casse relatives au longue haleine. Le relax avant les rafales (de balles), comme autant relatives au moments précieux pour effectuer grimper la tension, la vraie maîtrise du mouvement. Autre nouveauté surprenante: les missions scénarisées sans réel objectif, si ce n'est de faire avancer le scénario avec quelques révélations en voiture. Oui, faut ensuite procéder à un remplacement de encore apprendre à engager les yeux rivés sur les lignes de dialogue. Mais l'attachement aux personnages - ainsi la découverte de nombreuses liens qui les unit - fait qu'on s'y attarde sans déplaisir, une fois. Surtout qu'un récap' est accessible dans les menus pour ne rien rater des dialogues bien sentis.

Une fois encore, ardu d'insister sur l'excellence un ensemble de missions de ce nouveau GTA sans en divulguer le contenu. Même si les lèvres nous brûlent, même s'il faudra de temps en temps lire entre les lignes. Disons simplement qu'en la décennie de jeux open world, GTA 5 se révèle être encore arrivé notre abasourdir. OK, on n'échappe pas à certaines redites, lequel plus est à un ensemble de moments malvenus (ces filatures / assassinats assez banals à mi-parcours), mais grace à plus de 160 objectifs listés au compteur, comme par exemple 69 missions principales, Rockstar s'est vraiment creusé cette cervelle pour assurer le spectacle et élever un genre désormais bien balisé. Même si certains hommages / emprunts à Saint Row ou Sleeping Dogs ne trompent pas; le n'est sans doute point un hasard si ce méchant chinois répond au téléphone nom de... Wei Cheng. Côté gameplay, le chambre s'est même permis relatives au revoir fondamentalement le comportement des flics, beaucoup plus tenaces et crédibles, au système de rondes et élément cône de vision de sorte à vous repérer dès sommaire vous braquez une engrenage dans leur périmètre. Mine à de tels morpions, forcément prêts à un pirouette au moment le plus déplacé, il faudra apprendre à ruser, se tenir tranquillement à l'écart dans notre ruelle adjacente, et mêler les doigts afin que l'indice de recherche particulièrement grand se décide enfin dans disparaître. Ouaip, ce n'est pas parce qu'on a retiré une étoile au téléphone compteur que semer ces flics est devenu un jeu d'enfant.

Si un maçon Rockstar peut se permettre autant de agilité au sein de la construction des plus hautes missions, c'est aussi parce qu'il débarque avec la boîte aux outils qui autorise toutes les prouesses. Vous vous sentiez à l'étroit dans le béton du Liberty City? Les missions du jeu vous paraissent un peu trop balisées? Qu'à cela ne à toi, on renoue enfin avec l'immensité de San Andreas, la référence, au sein du lequel est très officieusement la suite spirituelle. Certes, San Fierro et Las Venturas ne sont pas présents dans le package, cependant la richesse du matière de jeu donne littéralement le vertige. On ne parle pas simplement du surface, mais sans se retirer le double décimètre, de fait il y an effectivement un ensemble de chances que le domaine soit aussi vaste sommaire "Red Dead, GTA IV et San Andreas réunis". Plus variés que les deux premiers, cela ne fait aucun doute, en tout cas. Il est de bon ton de bien dix minutes à bord d'un bolide, GPS activé, pour parcourir la carte d'un bout à l'autre. Chez temps, on aura pu contempler un coucher de soleil au pied du Mont Chiliad, écraser le ou deux pumas (de vraies plaies) entre la majorité des rocheuses, avant de tomber pied au plancher au sein des artères de Vinewood Abattis et son Walk of Fame, jusqu'aux paquebots ancrés au bout de une jetée. Pour revenir au téléphone point de départ, vous aurez la capacité de au choix braver la sécurité de l'aéroport et grimper dans un jet privé, ou, pour ces moins pressés, basculer l'écoutille d'un sous-marin. Les déchets radioactifs sont particulièrement lucratifs, et les fonds de la baie en regorgent...

Connaissant le passif relatives au Rockstar, un monde éventré de cette dimension pourrait dû mettre la méthode à genoux. Même pas. C'est peut-être l'autre torgnole de génie de GTA V, faire tenir un terrain de bluff pareil, un tel "champ de possibles", sur des machines en fin de course. Ainsi non, tout n'est point parfait, et les plus pointilleux remarqueront assez vite le "pop" cradingue au seins des trottoirs. Mais question distance d'affichage on est à des années-lumière de GTA IV, ou même de la concurrence plus récente, un vrai tour de musculature. Survoler Los Santos, c'est s'émerveiller du niveau relatives au détail ahurissant que une console est en provision d'afficher à plusieurs centaines de mètre d'altitude, mais aussi sans gros hoquet immoral, avec une belle facilité, comme une grande. C'est aussi savoir qu'en se posant n'importe où, n'importe quand, on retrouvera un niveau de détails fanfaronnant au sol, avec élément chargement progressif des agencement qui ne choque pas outre mesure.

On comprend mieux que certains joueurs regardants s'émeuvent de l'absence relatives au version PC à la sortie, surtout quand on voit les miracles qu'une bécane de mode a la faculté de réaliser sur ce genre de passe-temps, de Sleeping Dogs à tous les derniers Saints Row, transfigurés. Mais si hésitation de fait il y a, elle doit se dissiper face dans une technique hors pair, laquelle sert à la coup le gameplay tout sous régalant le joueur. Quand l'on ajoute le service sur les éclairages sommaire ne renieraient pas un Red Dead et ses étendues désertiques, et également les textures des environnements & autres buildings qui mettent en ligne que chaque mètre carré est unique ou quasiment, on peut clairement affirmer que GTA V suggère le terrain de passe-temps urbain le plus impressionnant jamais rendu à l'écran. Paradoxalement, le plus impressionnant se maintienne peut-être le rendu relatives au l'eau qui borde Los Santos, un souci de ce détail qu'on sait toutefois gourmand et exigeant. Or les océans et la majorité des fonds-marins ont rarement paru aussi crédibles dans un open world. Pour tout déclarer, la modélisation des personnages principaux, pourtant soignée, paraît presque bâclée en comparaison des décors. Pourtant, sans atteindre la finition d'un Last of Us et aussi d'un Beyond, elle se maintienne vraiment de bonne facture. Tout ça pour dire que le monde d'un GTA n'a jamais paru aussi crédible sur le simple plan plastique. Qu'elle semble loin, la PS2 et ses graphismes sous cartoon...

Un tel travail n'aurait pas eu du sens sans un propriété qui fourmille. Et pour fourmiller, GTA 5 pas déconne pas. C'est communément le passage catalogue de ce test, celui où l'on liste toutes les allures possibles et imaginables de jeu. Il serait convenablement présomptueux de dire qu'on les a toutes répertoriées, mais pour terminé, en un peu moins de trente heures de jeu, vous avons cramé des dizaines de milliers de dollars dans un plan foireux à la bourse, commandé un petit coucou d'appoint pour les activités import / export de Trevor, tenté un mini-jeu de basket sans intérêt, davantage apprécié le golf assez subtil pour y passer certains heures, paparazzé une starlette nymphomane sur-le-vif, poké la ex sur facebook - pardon LifeInvader -, mailé une future ex sur un site de conférences débridé, envoyé péter un psy et ses tuyaux exorbitants, chassé le daim avec un abruti consanguin, maté un pseudo Pixar de très mauvais goût au cinéma du quartier, pris possession d'un bar gay et d'un pied-à-terre hors de prix, puis d'un club de strip-tease, ce qui nous période offert un accès VIP aux charmes préfabriqués d'Infernus, une hôtesse que nous aurons finalement décidé "consommer" après l'avoir reconduite chez elle en bon aristocrate. Les avantages d'être un boss, sans quoi celui-ci aurait fallu garder un oeil sur les rondes du videur dans élément mini-jeu appelé à donner culte chez les joueurs un brin libidineux.

Tel toujours chez Rockstar, on bazooke la société nord-américaine dans ce qu'elle a de plus crétin, dégommant les clichés sur ces hipsters qui bossent dans des sociétés Internet, au sein de leurs patrons qui se rêvent maître du secteur en revendant les infos personnelles de leurs clients, tout en tournant en ridicule les filons relatives au télé-réalité déjà has been. Bref, du pastiche dans la Rockstar, un fonction plus ou moins subtil mais toujours aussi maîtrisé, entre réflexion suggérée, épigramme déjantée et délire post-ado, qui contribuent à l'ambiance unique du jeu. Un trait de personnalité pour lesquels vous trouverez peu peuvent se revendiquer... si ce n'est les autres jeux de la collection. On ne s’appesantira pas davantage sur les atouts d'écriture de ce cinquième volet, mais pour la majorité des déçus du IV, soyez sûr qu'on y retrouve cette patte maison de manière importante, qu'il s'agisse des saillies de Trevor, décidément la fortune du show, ou un ensemble de personnages qui gravitent près de Michael et Franklin. Et comme si tout ne suffisait pas, un studio multiplie en indemnité les clins d'oeil par rapport aux anciens épisodes de une série, jusqu'à faire attendre des personnages et de nombreuses lieux que les groupies n'ont pas oubliés. Ici encore, on préfère se taire, mais croyez-nous sur parole, certaines séquences valent le détour. Grand Theft Auto V Download

Tellement joie que t'en chiales, fréquemment de rire en pas, GTA 5 aurait et de plus sans doute encore mérité le léger coup de polish' sur certains aspects. Passent encore les phases d'infiltration moisies, puisque l'intérêt se trouve être ailleurs. La physique un ensemble de caisses peut éventuellement indisposer, mais on ressent assez bien la nuance chez les véhicules pour signer d'une grosse croix (on peut même se remettre facilement d'un tonneau avec le stick). Bin évidemment, celui-ci faudra un jour succinct Rockstar se décide à peaufiner les gunfights, à pied comme en abrutis. Voire, il est parallèlement possible rêver, dans oser des combats au téléphone corps-à-corps dans la lignée du Sleeping Dogs ou Arkham, avec combos, contres & interactions grace au décor. Avec le cas présent, la visée comme les partages restent fonctionnels, mais point vraiment exaltants; dans ces diverses phases-là le jeu considération surtout sur sa remise en scène et ces musiques d'ambiance pour effectuer grimper la tension. Bien évidemment, il est possible, et même conseillé, d'ajuster le choix de la visée, dans le but de réaliser le nombre relatives au headshots requis pour acquérir l'or sur certaines missions (qu'il est possible de rejouer à l'envi). Cependant le ciblage tout autonome "à la GTA" se maintienne à la fois au mieu pratique et le bien moins crédible face aux groupe d'ennemis qui pullulent. C'est sans doute pour cette prétexte que l'on privilégie cette méthode douce dès sommaire possible.

Les fans les plus fidèles de la période PS2 pourront pareillement regretter le peu d'improvisation qu'offre le jeu en mission, sacrifiée sur l'autel de la mise en scène et du spectacle. Certaines phases laissent néanmoins le joueur libre d'aborder la ambiance sous différents angles possibles. C'est d'ailleurs à cause d'un convoi militaire un peu trop correctement armé qu'on a pu apprécier toute l'efficacité de lance-grenades depuis chez eux, après dix à six essais manqués de drive by mais aussi plusieurs course-poursuites avortées avec la cambrousse. Oui, ceci fait partie du séduction de GTA, et cet épisode ne l'oublie pas. Enfin, si la promesse d'un GTA Online restera réalisée dans les journée qui suivent la se retirer du jeu, on a la possibilité regretter l'absence d'une option coopération qui se se situerait merveilleusement prêtée à la aventure en trio. Néanmoins pour peu par rapport aux modes de jeu en conception soient à la hauteur du solo absolument saugrenu, on voit mal qui pourrait arrêter le bulldozer de Rockstar. A minimum que Trevor ne se mette sur sa route...

Évaluations des utilisateurs: 9/10

Configuration requise pour Grand Theft Auto V

Minimum: Intel Core 2 Quad Q6600 2.4 GHz / AMD Phenom X4 9850 2.5 GHz 4 GB RAM graphic card 1 GB GeForce 9800 GT / Radeon HD 4870 or better 72 GB HDD Windows 7(SP1)/8/8.1 64-bit

Recommended: Intel Core i5-3470 3.2 GHz / AMD FX-8350 4.0 GHz 8 GB RAM graphic card 2 GB GeForce GTX 660 / Radeon HD 7870 or better 72 GB HDD Windows 7(SP1)/8/8.1 64-bit